12 % des données des entreprises françaises ne sont pas du tout protégées contre les pannes imprévues, notamment les cyberattaques et les incidents techniques, selon le rapport Veeam Data Protection Trends 2022.
Etude – Veeam Software, leader des solutions de sauvegarde, de restauration et de gestion assurant la protection moderne des données, révèle qu’en moyenne, 12% des données d’entreprise détenues par les entreprises françaises ne sont pas protégées contre les pannes imprévues, notamment les cyberattaques et les incidents techniques. Ce constat issu du Veeam Data Protection Trends Report 2022, met en évidence le risque d’exposition des données critiques des entreprises aux acteurs malveillants, aux pannes d’infrastructure et aux erreurs humaines. Sur les 88% de données qui sont protégées, les responsables informatiques doivent encore relever des défis pour concilier la protection dont ils disposent avec les exigences plus larges de l’entreprise. Selon le rapport, la nécessité d’une protection moderne des données pour la continuité d’activités reste plus que jamais essentielle, les entreprises françaises devant consacrer 6% de budget supplémentaire à l’atténuation des risques et au renforcement de la résilience en 2022.
Pannes imprévues ou ransomware, qui fait le plus de dégâts ?
Le rapport Veeam Data Protection Trends Report 2022, qui donne un aperçu des défis en matière de protection des données auxquels les organisations sont confrontées et de leurs projets d’investissement dans les nouvelles technologies pour assurer la continuité d’activités, révèle qu’au cours des 12 derniers mois, 95% des entreprises françaises ont subi des pannes imprévues. De plus, une majorité d’organisations (79%) reconnaissent un écart de protection entre la quantité de données qu’elles peuvent se permettre de perdre après une panne et la fréquence à laquelle les données sont sauvegardées.
Les temps d’arrêt ne sont pas les seuls défis auxquels sont confrontées les entreprises en matière de protection des données. Ces dernières années, le cyber risque s’est accru à un point que toute entreprise doit considérer qu’elle sera victime d’une attaque de ransomware à un moment ou un autre. Il ne s’agit plus de savoir où, quand, mais à quelle fréquence. Selon le rapport de Veeam, 79% des entreprises françaises ont en effet subi une cyberattaque en 2021, générant des pertes de données totales ou partielles. Quant à la restitution totale des données, elle n’est jamais assurée car la reprise d’activité, après un temps d’arrêt, devient un obstacle encore plus difficile à surmonter face à la sophistication des attaques.
Orchestration et restauration, les « essentiels » de la protection moderne des données
Les entreprises françaises prennent conscience de leur vulnérabilité et agissent en conséquence. Une très grande majorité (85%) a prévu d’augmenter son budget dédié à la protection de ses données en 2022, jusqu’à 6% par rapport à 2021.
Pour Thierry Lottin, country manager France de Veeam : “Si cette hausse des budgets est rassurante, elle est également plus que nécessaire, selon les résultats du Veeam Data Protection Trends Report 2022. Les pertes de données à répétition peuvent entraîner, par exemple, une baisse de performances des employés, ces derniers ayant la crainte de voir leur travail réduit à néant ; cela se répercute inévitablement sur l’entreprise. Il est donc vital que les entreprises françaises adoptent une solution moderne de protection des données capable d’assurer leur protection et leur restauration, mais aussi l’orchestration des worklows, afin de garantir une continuité d’activité optimale à leurs collaborateurs et à leurs clients.«
Le rapport complet Veeam Data Protection Trends Report 2022 peut être téléchargé ici.
Méthodologie de l’enquête
Veeam a confié au cabinet indépendant Vanson Bourne la réalisation d’une étude quantitative sur les tendances du marché de la protection des données, les solutions adoptées et les perceptions des grandes entreprises à travers le monde. L’enquête a été menée auprès de 3000 décideurs informatiques (dans des entreprises de plus de 1000 salariés) de 28 pays, selon une méthode quantitative non biaisée de façon à assurer l’impartialité des résultats.