Les architectes en SI ne rêvent plus. Dit-on. Mais qui les aide vraiment à prendre le virage de l’agilité ? Explorons de façon concrète leurs attentes et quelles solutions, sur le marché, leur change la vie. Et on sera surpris…
Tribune par Jean-Marie Zirano, CMO de Axellience
Dépassons le discours de l’architecte en SI ‘désabusé’ qui, descendu de sa tour d’ivoire – ce cliché persiste – semble tomber sans transition dans le maelström de l’agilité en mouvement. Un rafteur dans un rapide… mais sans pagaie. Ici Devops, là SAFE, là encore DAD… Avant de monter à bord du vaisseau agile, l’architecte sait que son organisation se croit bien plus agile qu’elle n’est en réalité.
Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
Qu’est-ce qui crée de la valeur, non seulement pour l’architecte en SI mais pour toute la chaîne qui va de l’expression de besoin à la mise à disposition de nouveaux produits et services ? Deux éléments semblent dominer les attentes des architectes, si l’on écoute les propos des équipes “grands comptes” que nous rencontrons sur le terrain :
- En amont : une vision claire, globale, partagée et maîtrisée du backlog : quelles sont les exigences existantes, dans quel ordre ont-elles été exprimées, par qui, où sont elles disponibles et partagées, comment sont elles mises en priorité pour livrer avec un minimum de risque un produit ou une solution cohérente qui crée de la valeur auprès de ses clients / utilisateurs ?
En regard de ce backlog on trouve des “agile release trains”, ou un “Solution train” qui les rassemble et les organise, c’est-à-dire un processus incrémental en constant mouvement pour développer, livrer, et parfois opérer une ou plusieurs solutions dans une chaîne de valeur. - En aval : des exigences d’intégration car si l’on veut répondre aux enjeux organisationnels du DevOps, si comme souvent c’est DevOps qui structure les objectifs d’un changement de méthode, il faut conjuguer la collaboration des équipes, des changements importants dans les rôles de chacun et atteindre un certain degré d’automatisation grâce à l’intégration des outils.
Un des points les plus représentatifs ici est la maîtrise de la documentation alors que les rôles, les interventions et les flux d’information sur l’architecture et sur les projets s’enchevêtrent dans ce qui semble créer un inextricable chaos. A fortiori si aucun outil – ou aucune chaîne intégrée d’outils – ne vient structurer les travaux de documentation.
Si on commençait par la documentation ?
Agile ou pas, la pratique d’architecture du SI exige de documenter à la fois pourquoi (pour quoi faire) et comment on fait les choses. Et ce n’est pas d’hier. Les changements de méthode n’altèrent en rien cette exigence. La documentation est une obligation pour améliorer la collaboration, et on y trouve à la fois la vie des projets, les principes, les règles et les strates de l’architecture.
Dans les méthodes agiles l’architecture émerge de façon collaborative : une fois émergée il faut la documenter car elle régit la construction des solutions à moyen terme. Or rien n’est plus pénible que de prendre le temps de documenter : devoir s’arrêter pour écrire, quelque rôle que l’on ait, c’est toujours une douleur, du commentaire dans le code au titre du 1er document sur la proposition de valeur d’une solution ou sur la motivation d’un programme capacitaire.
Alors comment gagner du temps ? En automatisant la production de documentation. Car sur les projets, personne ne veut fabriquer de la documentation mais tout le monde veut en bénéficier.
Modéliser = documenter ?
Les pratiques d’architecture reposent sur l’élaboration de modèles (les plans). Elle est documentaire en soi, car l’élaboration de modèles est invariablement graphique et permet, avec des outils collaboratifs modernes, d’organiser et de remplir les documents requis par contrat (un cahier des charges, un processus, une cartographie des outils informatiques, un modèle de données, un parcours client…).
Alors si modéliser, sans rien faire de plus, c’était aussi documenter ?
La MarketPlace Atlassian vient de s’enrichir du Plug-In « Architect Model for Confluence » d’Axellience. Ainsi la modélisation de l’architecture du SI s’intègre automatiquement, c’est-à-dire sans aucun effort, à la documentation et au cycle de vie des projets collaboratifs.
Vous documentez vos projets SI avec Confluence ? Alors, fini les dessins obsolètes et impossibles à maintenir ! Voici un référentiel en ligne avec de vrais modèles, reposant sur des standards (UML, Archimate, BPMN, DMN…) et les meilleures pratiques de collaboration et de partage. Le Plug-In « Architect Model for Confluence » intègre directement au N°1 des outils de documentation agile l’offre Agile Architecture Factory d’Axellience, une plate-forme complète de modélisation d’architecture SI. Facile à utiliser, elle embarque une technologie de diagramming innovante, les standards du marché (BPMN, DMN, Archimate, UML…), un référentiel robuste et, cerise sur le gâteau, des mécanismes de documentation automatique : modéliser c’est documenter. En un mot : vous créez et documentez des modèles d’architecture professionnels en ligne, directement dans Confluence. Vous gagnez du temps, assurez cohérence et efficacité, et vous bénéficiez des standards et des meilleurs pratiques.