Augmenter l’efficacité opérationnelle tout en réduisant les risques à chaque étape du cycle de vie du datacenter, tels sont les objectifs que s’est fixé Schneider Electric en faisant évoluer ses offres Critical Facility Operations (CFO).
Le datacenter n’échappe pas à la tendance forte de la digitalisation des opérations de pilotage des infrastructures informatiques. Même s’il accuse un certain retard dans cette mouvance. Pour y répondre, Schneider Electric propose la centralisation du support de l’ensemble des processus du datacenter, jusqu’aux installations critiques, sur un point unique.
Le fabricant voit trois avantages dans le software-driven :
- Augmentation de l’efficacité opérationnelle, a une amélioration de l’efficacité opérationnelle pouvant atteindre 15%.
- Réduction des risques et disponibilité maximale avec la standardisation des processus et la réduction des risques d’erreur humaine.
- Planification informatique efficace avec la gestion du cycle de vie complet des actifs informatiques.
Pour atteindre ces objectifs, Schneider Electric décline Critical Facility Operations (CFO) sur l’espace gris du datacenter (l’infrastructure essentielle : distribution électrique, équipements de commutation, onduleurs, les transformateurs, les refroidisseurs et générateurs), ainsi que sur les espaces blancs (l’infrastructure informatique : racks, serveurs, réseaux, stockage de données, distribution d’alimentation et de refroidissement).
Ainsi l’adoption de processus numérisés et pilotés par logiciel permet de réduire le risque d’erreur humaine et d’améliorer l’efficacité, d’optimiser la gestion des sites en continu, d’assurer la cohérence de la gestion multi-sites, de déployer rapidement les ressources, d’optimiser les ressources, et éventuellement de ‘redimensionner’ le personnel.
Juste un bémol dans ces promesses, CFO est disponible en Amérique du Nord, et devrait l’être prochainement au Royaume-Uni, en Irlande et en Chine. Quid de la France et des pays francophones ?